Des Gourniers à Embrun
Réallon

Des Gourniers à Embrun

Histoire et architecture
Lac et glacier
Point de vue
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Etape abordable qui permet, après avoir admiré les sommets, de redescendre dans la vallée.
Un parcours intemporel ! Rejoindre Embrun par la vallée de Réallon, ancienne voie de passage entre le Champsaur et la Durance, pour en admirer les architectures médiévales, archiépiscopales et provençales.

Les 25 patrimoines à découvrir

  • Faune

    Circaète Jean le Blanc

    Le circaète Jean-le-Blanc est un gros rapace très reconnaissable à sa face ventrale blanche et sa grosse tête souvent marron chocolat. La confusion est toutefois possible avec certaines buses variables très claires. Ce migrateur transsaharien se nourrit surtout de reptiles qu'il chasse dans les zones steppiques, les garrigues, les friches, les milieux rocheux mais aussi en montagne jusque dans les pelouses alpines. Le nid assez petit est souvent bâti dans les pins.
  • Savoir-faire

    L'agriculture de montagne

    Pour nourrir famille et bétail, Chaque génération a épierré le sol, créant des terrasses bien exposées et irriguées. La mécanisation des terres étant difficile, le déclin agricole commence vers 1955.
  • Faune

    Perdrix bartavelle

    La perdrix bartavelle vit en montagne sur les versants bien exposés, comme ici sur le versant de Roche Méanne. Tous les deux ans, les gardes du Parc national des Ecrins les dénombrent sur ce versant. Avant le lever du jour, ils partent chacun sur des « quartiers » différents avec de petits magnétophones pour imiter le chant de ces oiseaux. « Nous gardons l'oreille attentive en guise d'une éventuelle réponse ». Le chant indique la présence d'un « mâle chanteur ». « Parfois nous n'entendons que leur chant, mais quelques fois, tout à coup, le silence de la montagne est interrompu par un fracas de battements d'ailes nous faisant sursauter. Nous avons juste le temps de les compter et de les voir plonger à grande vitesse ».

  • Faune

    Pipit spioncelle

    Ce petit oiseau de la famille des Passériformes peut rester invisible en voletant à contre jour dans le bleu du ciel. Il est donc très discret. Par contre, il sait se faire entendre en criant son nom : « pi-pit-pipit-pipit-pipit » et tout à coup, à l'apogée de son vol, il se laisse glisser vers le sol, les ailes déployées en parachute tout en émettant un « piiiiii » jubilatoire ! Posé dans l'herbe de l'alpage, il devient difficile à distinguer parmi les touffes de la grande fétuque.

  • Archéologie

    Le « Clot du Fort » et son canal

    D’une surface approximative de 30 ha, le plateau, appelé communément « Clot du Fort », était depuis l’Antiquité, principalement destiné à la culture des céréales. Au début du XXe siècle, un canal d’une longueur de 2,5 km environ fut construit depuis le torrent de la Pisse pour irriguer, par une multitude de canaux secondaires, 90 parcelles de petites propriétés privées. Tandis que ces dernières furent progressivement vouées au pâturage des ovins, le canal tomba en désuétude. Aujourd'hui à l’état de vestige, un sentier permet de suivre partiellement son tracé en belvédère.

  • Histoire

    Le château de Réallon

    Le château de Réallon a sans doute été élevé en pleine Guerre de Cent ans. Son emplacement lui permettait de commander les différents accès à la vallée grâce au ravin de Champas à l'est de l'enceinte et à la construction d'une partie de celle-ci sur un terrain pentu. Le château était composé d'un donjon et d'une vaste enceinte qui avait vocation de refuge pour abriter les populations réallonnaises en cas d’attaque militaire. Cette enceinte était cantonnée par une tour semi circulaire ouverte vers l'intérieur. A l'initiative de la commune de Réallon, celle-ci, aussi appelée « Tour à la Gorge », fut complètement restaurée en 2013 avec une aide du Parc national des Écrins. Source : Association « Patrimoine en Réallonais ».

  • Faune

    Marmotte

    Quelques unes d’entre-elles vivent sur le plateau. Animal le plus convoité des randonneurs, vous aurez peut être la chance de l'observer ou de l'entendre siffler. Ce gros rongeur n’est visible que d’avril à octobre, réfugié pendant la mauvaise saison dans le terrier où il hiberne. Elle vit en famille, respectant une hiérarchie stricte. Les jeux, les toilettes, les rixes et les morsures assurent la dominance d’un couple ainsi que la cohésion du groupe. Chacun participe à la délimitation du territoire en frottant ses joues sur des rochers ou en déposant crottes et urine. Lors d’un danger, la marmotte émet un sifflement aigu et puissant afin d’en avertir les autres.

  • Faune

    Circaète Jean le Blanc

    Ce versant sec thermophile abrite quelques reptiles comme le lézard des murailles, le lézard vert, la vipère aspic ou la couleuvre à collier. Le « Jean-le-Blanc » ne consomme essentiellement que des reptiles ! Ainsi, dès le mois de mars, vous aurez l'occasion d'apercevoir dans le ciel de grands oiseaux volant de concert, alternant voltige et surplace comme deux cerfs volants argentés jouant avec le vent. Leurs silhouettes claires et trapues, leur tête plus sombre ne laissent « planer » aucun doute ! Les circaètes sont de retour.

  • Faune

    Écureuil

    Saviez-vous que l’écureuil utilise un langage très élaboré ? C'est un langage des signes, avec des mimiques et des attitudes, sans oublier les mouvements de la queue.  Il possède aussi un langage sonore assez étendu. Il glousse, glapit, grogne ou râle, il caquette aussi. Alors, si vous n'en voyez pas sortir du bois, ne faîtes pas de bruit, peut-être aurez vous la chance d'entendre s'exprimer furtivement ce petit animal.

  • Faune

    Chevreuil

    Caché dans les bois de pins, le chevreuil montre parfois sa tête fine à l'aube et au crépuscule. Pas toujours aisé de voir cet animal discret mais quelques traces ou crottes peuvent trahir sa présence : une empreinte en forme de cœur de ses frêles sabots, des troncs d'arbustes écorcés par le frottement des jeunes bois du brocard pour en ôter les derniers lambeaux de velours, le sol gratté par le brocard qui marque son territoire à la période du rut. Ses petites crottes rondes et noires en amas sont appelées « moquettes » ! Parfois c'est un aboiement sonore et guttural qui résonne depuis le bois. A vos oreilles !

  • Flore

    Chênes et pins

    Chênes et pins vivent ici ensemble. Ils remplacent d'anciennes prairies de fauche entretenues jadis par les réallonais. La pinède se compose de pins noirs et de quelques pins sylvestres. Le pin noir d'Autriche a des aiguilles longues, rigides, piquantes et vert foncé ; celles du Pin sylvestre sont courtes, vrillées d'un vert glauque. En raison de sa rusticité, le Pin noir d'Autriche fût introduit au XIXème siècle et fut souvent utilisé pour restaurer les sols érodés des montagnes méridionales. Ce fût le cas ici, sur le versant « adroit » (adret ou sud) de Réallon où il fut planté par les services de Restauration en Montagne au début du XXème siècle pour stabiliser les pentes et ainsi protéger le village et la route.

  • Histoire

    Réallon chef-lieu

    La vallée de Réallon, fertile et riche en gibier et poissons, était occupée dès le 8 ème siècle av.J.C. par un peuple ligure.
  • Savoir-faire

    Murs de soutènement

    Les murs de soutènement sont réalisés en pierre sèche. On les appelle des restanques en Provence. Ils permettent dans les zones pentues de pouvoir mettre en place des terrasses de culture en retenant la terre. A l’époque, leurs constructions ont permis à des générations de paysans de vivre de leurs terres, devenues ainsi fertiles et cultivables. Aujourd’hui, de nombreux chercheurs et artisans essayent de se réapproprier cette technique ancestrale.
  • Faune

    Merle de roche

    Le merle de roche ou monticole de roche affectionne les pierres et le soleil. Il ne nous rend visite que d'avril à fin août pour nicher soit à même le sol, soit dans une anfractuosité de rocher. Poitrine orangée, tête bleue, croupion blanc, il lance de douces et claires strophes mélodieuses.

  • Faune

    Rougequeue noir

    Monsieur Rougequeue noir arbore une calotte grise et une tâche blanche sur les ailes, une queue et un croupion roux. Oiseau montagnard à l'origine, il s'est adapté à d'autres milieux, pour peu qu'il y trouve un ambiance rocheuse. C'est le cas ici, sur le versant de Roche Méanne. Le rougequeue noir est un oiseau commun, vif et très actif : il chasse sans cesse les insectes en volant au sol. Souvent haut perché sur un mur ou un rocher, il lance ses cris d'alarmes brefs en ployant ses pattes. Son chant bavard, ponctué de « froissements de papier » est caractéristique. Migrateur partiel, il descend dans les basses vallées pour passer l'hiver.

  • Petit patrimoine

    Les clapiers

    « Clapier » est le terme employé dans le Sud des Alpes pour désigner un amas de pierres. Ils sont la trace d’anciennes activités agricoles. En effet, les épierrements permettent de regrouper les pierres afin de nettoyer les champs. Cela facilite le travail du sol et permet de gagner de la place.  A l’époque tout se faisait à la main.
  • Flore

    Le Mélèze

    Arbre roi dans les montagnes des Alpes du Sud, le mélèze est le seul conifère à perdre ses aiguilles en hiver. Ses cônes, au printemps, sont d'un violet sombre caractéristique. Le mélèze est une des rares essences européennes imputrescibles (qui ne pourissent pas). C'est pourquoi malgré sa torsion au séchage il est beaucoup utilisé dans les charpentes, les abreuvoirs et autres rigoles des villages montagnards. Incapable de se régénérer sous son propre sous-bois, il a besoin d'ouvertures naturelles, parfois créés par des avalanches, pour que les jeunes pousses se développent. On le retrouve jusqu'à plus de 2200 mètres d'altitude, où il adopte alors des formes naines dans ces zones de combat. Le mélèze présenté en ce point de la randonnée est plusieurs fois centenaire.
  • Point de vue

    Point de vue sur le Lac de Serre-Ponçon

    Ce point de vue situé au Bois de Pra Martin offre un magnifique panorama sur le lac de Serre-Ponçon. Tout à gauche, le pont de Savines-le-Lac ainsi que le Pic Morgon. A droite la vue s’ étend presque jusqu’au barrage qui se trouve en aval de Sauze-du-Lac.  En rive droite du lac se trouve le hameau de Chèrines, ainsi que la station de ski de Réallon au pied des Aiguilles de Chabrières.
  • Faune

    Pinson des arbres

    Le Pinson est facilement reconnaissable à la double barre blanche sur ses ailes. C'est la plus fréquente et la plus répandue des trois espèces de pinsons. Territorial en période de reproduction, ce pinson se nourrit en grandes bandes en hiver. Du bord de la mer jusqu'à l'étage alpin, le pinson des arbres est peu exigeant même s'il a une préférence pour les forêts peu denses et fraîches. Granivore, il devient insectivore pendant la reproduction.

  • Eau

    Canal de Reyssas

    Ce canal présent tout au long de la randonnée sert à l'irrigation des terres en contrebas en captant l'eau du torrent de Reyssas et en la redirigeant grâce aux canaux secondaires. Tantôt à l’air libre, tantôt dans des canalisations en ciment, ce canal est primordial pour les agriculteurs afin de pouvoir irriguer leurs champs. Les canaux demandent un entretien régulier. Cette tâche difficile est effectuée par des bénévoles qui utilisent la force de leurs bras pour transporter les matériaux nécessaires.
  • Faune

    Le Coucou Gris

    C’est un oiseau migrateur de taille moyenne, c’est par son chant « cou-cou » qu’on l'identifie, d’avril à juillet, entre boisements et espaces ouverts.
    Les femelles recherchent les nids de petits passereaux et mangent l'un des oeufs du nid occupé avant de pondre le leur. Dans le nid parasité, le poussin coucou, qui nait avant les autres va éjecter tous les autres œufs pour être élevé, par ses parents adoptifs!

  • Savoir-faire

    Murs de soutènement

    Les murs de soutènement sont réalisés en pierre sèche. On les appelle des restanques en Provence. Ils permettent dans les zones pentues de pouvoir mettre en place des terrasses de culture en retenant la terre. A l’époque, leurs constructions ont permis à des générations de paysans de vivre de leurs terres, devenues ainsi fertiles et cultivables. Aujourd’hui, de nombreux chercheurs et artisans essayent de se réapproprier cette technique ancestrale.
  • Pastoralisme

    Pâturage

    Le pastoralisme est une technique d’élevage extensive pratiquée par les éleveurs. Il exploite les ressources naturelles afin de pouvoir nourrir son troupeau.  On estime aujourd’hui que cette pratique a débuté il y a environ 10 000 ans. Certains animaux ayant une tendance naturelle à se regrouper sont alors domestiqués. La recherche de nourriture pousse alors l’homme vers le nomadisme de ces troupeaux.  Cette pratique est très importante afin de pouvoir maintenir les milieux ouverts et favoriser certaines espèces spécifiques.
  • Faune

    Faucon crécerelle

    Le Faucon est de taille moyenne. Le dessous des ailes est de couleur crème tacheté de noir. Le mâle a la tête gris-bleu ainsi que le dessus de la queue. Ce rapace vole rapidement, en battant des ailes de façon assez continue, en alternant des changements de trajectoires, des courts planés et des piqués subits. Sa caractéristique est de s'immobiliser en vol, queue ouverte en éventail, ailes battant très rapidement, à l’affût d'une proie, on appelle cela « le vol du Saint-Esprit ».
  • Petit patrimoine

    Les clapiers

    « Clapier » est le terme employé dans le Sud des Alpes pour désigner un amas de pierres. Ils sont la trace d’anciennes activités agricoles. En effet, les épierrements permettent de regrouper les pierres afin de nettoyer les champs. Cela facilite le travail du sol et permet de gagner de la place.  A l’époque tout se faisait à la main.

Description

  1. Prendre l'unique route (D241 et GR) en direction de Réallon puis continuer sur le sentier herbeux (GR) qui monte à gauche en direction du Fort de Réallon. A la bifurcation, ne pas prendre vers L'Oussella/Le Laus mais suivre la direction du Fort de Réallon. Le Fort de Réallon était un excellent point de surveillance et servait de refuge pour les habitants des environs. Après avoir fait le tour du Fort, revenir sur ses pas et continuer sur le GR/GRP jusque Réallon, hameau authentique. A Réallon, descendre la Charrière de la Pisse jusqu'à la Charrière Grande (parking, D41) où on peut déguster et acheter des sirop et confitures artisanaux.
  2. A la sortie du hameau, le GR/GRP se sépare de la D41 sur une piste herbeuse qui monte à gauche en direction des Méans. Lea piste se rétrécit ensuite, longe un beau mur de pierres sèches et offre de beaux points de vue sur Savines-le-Lac et le Grand Morgon.
  3. Arrivé aux Méans, charmant hameau bien restauré et fleuri, continuer sur la route et le GR/GRP, non sans s'arrêter aux fontaines, puis prendre le sentier étroit et en balcon en direction de Puy-Sanières. Le sentier rejoint brièvement une route : la monter pour attraper la piste GR/GRP en balcon avec de beaux points de vue sur le lac, Prunières, Puy-Sanières.
  4. Aux Touisses, profiter du ruisseau avant de monter, sur votre gauche, le sentier en sous-bois en direction de Clot Bouffier, halte paisible et herbeuse (zone de pâturage). Puis continuer sur le GR/GRP : en montant, rejoindre la piste forestière confortable puisqu'entièrement concassée en 2019. Le torrent de la Pisse est spectaculaire. 
  5. Ensuite, le Chemin de la Baume débouche sur un virage en épingle : descendre à droite par la forêt de la Selette et de Pré St Martin qui offre de superbes points de vue sur le lac de Serre-Ponçon. Après 2 lacets, descendre à droite sur une piste secondaire en direction du canal de Reyssas et tourner tout de suite à gauche pour descendre à l'église de Puy-Saint-Eusèbe en longeant le torrent. Après l'église, descendre et continuer à gauche pour traverser le hameau (four à pain, maisons de pierres) et, avant la sortie du hameau, prendre le sentier herbeux qui descend à droite au départ d'un poteau en béton.
  6. Au bout de ce sentier, traverser la D109a et continuer en face sur un second sentier herbeux. Au débouché sur la D9, prendre à gauche puis la première piste forestière à gauche. La suivre toujours au plat et tout droit jusqu'à déboucher sur la route qui descend à droite vers Le Serre. Aller jusqu'à la fontaine puis decendre le Chemin des Martuches et tourner à droite sur la Voie du Forest qui débouche sur la D9. 
  7. La traverser et prendre en face la piste qui descend Les Clots et Les Champannes. Traverser le gué et continuer sur le Chemin de Chadenas qui mène au Centre Equestre CHASP, étape pour les chevaux.
    • Départ : Les Gourniers, Réallon
    • Arrivée : Club Hippique Alpin Serre-Ponçon
    • Communes traversées : Réallon, Puy-Saint-Eusèbe et Puy-Sanières

    Profil altimétrique


    Recommandations

    • Aux Gourniers, la marmite de géant creusée par le torrent de Chargès vaut le détour (30', sans cheval). Le parking à l'orée du hameau est bien équipé : WC, tables de pique-nique, eau potable, parking, abri, panneaux d'information sur la faune...
    Hébergements partenaires (comité tourisme équestre 05) :
    • Centre équestre CHASP : accueil chevaux, www.chasp.fr
      • Le Club Hippique Alpin Serre-Ponçon (CHASP) accueille les chevaux pour la nuit, pendant que les cavaliers dorment au CNA (Centre Nautique Alpin : camping) 
    • La Ferme du Riou Clar : lafermeduriouclar.wixsite.com/riouclar
    Ayez sur vous une carte IGN Top 25 et le tracé numérique ;
    Chevaux entraînés (dénivelés, sols variables, durée, climat changeant) ;
    Se renseigner avant d'emprunter un raccourci ;
    Faisable de mi-mai à mi-octobre.
    Les chiens de protection des troupeaux

    En alpage, les chiens de protection sont là pour protéger les troupeaux des prédateurs (loups, etc.).

    Lorsque je randonne, j’adapte mon comportement en contournant le troupeau et en marquant une pause pour que le chien m’identifie.

    En savoir plus sur les gestes à adopter avec le dossier Chiens de protection : un contexte et des gestes à adopter.
    En cas de problème, racontez votre rencontre en répondant à cette enquête.

    Lieux de renseignement

    Bureau d'Information Touristique de Chorges

    Grand rue, 05230 Chorges

    https://www.serreponcon.comchorges@serreponcon-tourisme.com0492506425
    D’octobre à mars : du lundi au samedi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h
    Avril, mai, juin et septembre : du lundi au samedi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 18h
    Juillet et août : du lundi au samedi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 19h. Dimanche de 9h30 à 12h30

    Fermé le jeudi hors vacances scolaires toutes zones
    Jours fériés (sauf 14 juillet et 15 août) : fermé
    En savoir plus

    Accès routiers et parkings

    De Gap ou d'Embrun, suivre la D9 avant de s'engager sur la D241. Continuer jusqu'au fond de la vallée pour arriver au hameau de Gourniers.

    Stationnement :

    Parking à l'entrée du hameau

    Source

    CDTE des Hautes-Alpeshttps://cdte05.ffe.com

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